Solange : De L’Offrande, Au Club Échangiste. (Partie 3)

Au début de leur relation quelque peu spéciale, après avoir connu l’aventure sexuelle avec le PDG et le Directeur de la société, Solange et Patrick était allés en club trois ou quatre fois tester l’échangisme et le libertinage. Ce club choisit était isolé, en pleine campagne près d’Évreux. À l’entrée, se trouvait un parking dont les travées étaient séparées par des haies afin de favoriser les relations coquines dans les voitures.
À l’intérieur, ils pénétrèrent dans une imposante salle circulaire, de 15 m de diamètre, dont l’éclairage tamisé et l’ambiance qui y régnait faisait penser à une discothèque. Le bar était vers l’entrée sur un côté où certains clients étaient installés haut perchés sur leur tabouret avec une femme à leur côté, s’embrassant à pleine bouche pour certains. Au centre de cette grande salle ronde, se trouvait une estrade surélevée d’un bon mètre, afin que tous les clients puissent suivre le spectacle qui s’y produisait. En effet, ses deux mètres de diamètre, permettait à certains couples de s’exhiber faisant l’amour en public. Installés sur un matelas, les acteurs ne simulaient pas.

Sur cette estrade, on pouvait voir également quelques femmes danser ou faire un strip-tease. Sur le pourtour, divans, fauteuil et tables basses garnissaient la salle, ainsi que tout autour de l’estrade. À la suite du bar, se trouvaient deux portes, celle de droite donnait sur un couloir séparant des pièces, meublées de petites tables, chaises et d’un grand lit. Au fond de ce long corridor, se trouvaient des toilettes et une salle de douche. À l’entrée de chaque chambre sans porte, sur un écriteau qui pouvait être retourner à sa guise, on pouvait lire du côté recto « Respectez notre tranquillité », les voyeurs ne pouvaient que regarder. Le côté verso « bienvenue » était une invitation pour d’autres partenaires.
Derrière la deuxième porte, un escalier menait à l’étage où deux pièces étaient équipées de croix de St André, chaînes et menottes qui descendaient du plafond, tout ceci pour satisfaire les adeptes du BDSM.



Solange se souvient, c’est elle qui nous raconte : Il y avait une vingtaine d’années de cela, c’était la première fois que nous allions ensemble dans un club libertin. Ce vendredi-soir, J’étais vêtue d’une robe fourreau moulante, noire sans épaule, avec comme seul sous-vêtement, une petite culotte. Porter un soutien-gorge avec bretelles fut été disgracieux et à cette époque, je ne possédais que ce genre lingerie.

Avec mon mari nous nous sommes installés sur un des canapés qui ceinturaient la grande salle, vers 22 heures. Il y avait déjà huit couples assis de la même manière qui attendaient la venue d’un des dix hommes seuls, présents également à l’intérieur du club. Très peu de temps après que nous nous soyons mis à notre aise, un homme, la petite trentaine, pantalon en Jean, chemise blanche, sportif, non marié, un très bel homme, cheveux bruns et courts, assez charmeur, s’était assis à ma droite alors que mon mari était à ma gauche.

En arrivant, il appela la serveuse et nous commanda une boisson, nous en couple de bourgeois, nous n’avions consommé qu’un cocktail sans alcool. Après les présentations et quelques banalités d’usage, tel : « Vous êtes déjà venu ici ? » « Il y a longtemps que vous êtes libertins ? » « Vous venez souvent ici ? », nous avions discuté principalement de sexe, une bonne vingtaine de minutes avec Jérémy. Il voulait savoir si j’avais déjà fait l’amour avec une femme, si Patrick aimait voir sa femme se faire baiser par des inconnus, si j’avalais le sperme, et comme beaucoup d’hommes, il voulait savoir ce que j’étais disposée à faire :
— C’est vrai que tu aimes la sodomie ?

Ce fut Patrick qui au cours de la discussion lui en avait parlé pour lui mettre l’eau à la bouche. Cet inconnu avait flatté mes seins qu’il caressait par-dessus ma robe tout en bavardant, puis avait continué sur ma cuisse. Nous répondions à toutes les questions que ce trentenaire nous posait. Il avait posé sa main sur mon genou et la remontait lentement le long de ma cuisse et l’avait glissé sous ma robe, peu à peu.
Ses doigts s’insinuèrent sous ma petite culotte et commencèrent à me masturber, je frémissais.

Je ressentis un certain plaisir, les attouchements intimes sans pudeur de Jérémy, les regards des couples et des hommes se trouvant dans la salle qui me regardaient me faire peloter, mélangé au sentiment d’humiliation que cet homme me procurait en parlant à Patrick, me considérant uniquement comme un jouet, un objet de consommation, m’excitèrent. Patrick me dit à l’oreille :
— Regarde tu es le spectacle de la salle, les mecs bandent en te regardant te faire doigter !
— Tu mouilles dis donc ! on y va ? Surenchérit Jérémy en s’adressant à moi.

En effet, il me proposait d’aller dans une chambre tout en continuant son doigté profond dans le vagin de plus en plus humide. Patrick s’était levé et suivit le nouveau couple ainsi formé. Dans le couloir, il y avait une desserte où se trouvait des serviettes de bain, une savonnette sous blister, un distributeur payant de préservatif.

Arrivés dans la chambre ouverte, Patrick tourna immédiatement l’écriteau en indiquant « Bienvenue » pendant que Jérémy se plaça derrière moi, j’étais restée debout au milieu de la pièce. Il voulait personnellement me déshabiller, il fit glisser la fermeture éclair de la robe et me l’enleva délicatement, puis baissa ma petite culotte le long de mes longues jambes tout en admirant le minou glabre que j’entretenais régulièrement.

Le trentenaire m’allongea sur le dos sur le matelas recouvert d’une alèse en plastique jetable. Il s’étendit et plaça sa tête entre mes cuisses pour me faire un cunnilingus, tout en me doigtant la vulve et mon anus. Je mouillais de plus belle et lui, je l’excitais, il bandait fortement. Il ne pouvait plus attendre, il voulait baiser, il se déshabilla rapidement, enfila un préservatif et s’allongea sur moi en me pénétrant dans la position traditionnelle du missionnaire, tout en me malaxant les seins qu’il trouvait formidables.


C’était très académique, sans amour, sans attention, il me limait avec des va et vient longs et réguliers. Ne voulant pas éjaculer trop tôt, il ralentissait les mouvements et s’arrêtait de temps à autres. Quant à moi, autant j’avais apprécié les préliminaires réalisés avec la langue et les doigts, autant que cette partie de jambe en l’air avait fait retomber mon excitation, j’avais besoin de surprise pour jouir…

Pendant ce temps, Patrick installé sur une chaise derrière moi se masturbait, je ne le voyais pas mais étant sur le dos, j’apercevais dans l’embrasure de la porte, les voyeurs, deux hommes et deux femmes qui mataient nos ébats. À cet instant, un autre type « Robert », la cinquantaine, un peu bedonnant et surtout poilu, voyant l’invitation de l’écriteau, était venu nous rejoindre dans la chambre.

Pendant que Jérémy allait et venait toujours à son rythme, Robert était venu à mes côté pour me pétrir et embrasser mes seins lourds et laiteux. Sous les conseils et à avec l’aide de Patrick, ils donnaient de petites gifles pour les voir trembloter comme de la gélatine. J’adorais cela, j’eus un orgasme foudroyant. Robert se dévêtit, puis s’agenouilla devant moi en réclamant une fellation pendant que Jérémy limait toujours. Le deuxième arrivant bandait suffisamment, le jeune homme me demanda de changer de position et de me mettre à genoux. Là Robert dit à Jérémy sans politesse :
- Laisse-moi-la un peu et je te la repasse ensuite…Comme on prête un jouet.

Patrick qui m’avait vu jouir après m’avoir fistée, en me dilatant pour m’introduire sa main lors de nos rapports, quelques jours auparavant. Et comme mon orgasme s’était prolongé, alors que sa main restait en moi, il dit aux deux hommes :
— Prenez ma femme en double vaginale, elle va aimer ça, mais fourrez-la, de vos deux bites dans sa chatte.

Il ne regretta pas que son épouse prenne deux queues simultanément dans le vagin, cela l’avait vraiment mis en érection.
Le jeune s’était allongé, je m’étais empalée sur son pénis tendu à bloc pendant que le second m’avait prise en levrette. Patrick tellement excité s’était placé devant ma bouche afin que je l’avale et suce sa verge pleinement en érection. Je l’aspirai en prenant le maximum de longueur de son sexe, sans que cela soit une gorge profonde. Je le suçais, faisais ressortir sa queue droite et raide puis recommençais tout en lui caressant les testicules ou en lui branlant la base de sa verge raide et dure.

Pour moi, c’était un plaisir rarement ressenti que de sentir deux phallus dans ma vulve. Très vite, j’eus un orgasme puissant, je tremblais de tout mon corps, je devenais folle, ma jouissance fut communicative car Jérémy éjacula profondément dans son préservatif en restant planté sous moi. Il se retira enfin et ôta sa capote et la déversa sur mon ventre qu’il colla au sien, me souillant ainsi de tout son sperme. Je me trouvais bien dans une sorte de monde à part, Robert s’était retiré pour pointer le gland de sa verge contre mon anus et s’enfonça dans mon rectum, il m’enculait et j’adorais : « elle aime cela la coquine » me dit-il, car je jouis de nouveau.

Je suçais toujours mon mari, lorsque Robert remplit son préservatif. Nous étions tous les trois épuisés, je m’étais allongée sur le dos pour reprendre mes esprits, le quinquagénaire s’agenouilla à mes côtés et vida le contenu de la capote sur ses seins, en pressant dessus. Patrick était derrière moi, il prit mon poignet et me fit étaler cette semence de ma main, en disant de branler mes mamelles avec ce liquide blanchâtre et poisseux. J’étais comme dans un état second, j’étais en plein délire. De me voir me masser les nichons, il pensait que bientôt, il me ferait me masturber qu’avec du foutre.

Il adorait cette façon de voir sa femme jouir, et contradictoirement il ressentait un étrange sentiment de voir sa salope se faire humilier à ses yeux. Il était encore très excité, il ne s’était pas branlé car la soirée pour lui n’était pas terminée. Après la douche, Patrick m’avait convié à le suivre pour le regarder faire, histoire d’inverser les rôles. Dans une autre chambre se trouvait une femme, la bonne quarantaine, un peu ronde, cheveux mi- longs, brune entièrement nue mis à part ses bas auto fixant, elle était avec quatre hommes. Patrick s’était joint à eux. Il se masturba au début, puis l’avait caressé alors qu’elle se faisait prendre comme une chienne dans ses trois orifices. Patrick attendit son tour et l’encula avec force et éjacula sur le dos.

Dans le couloir où j’étais restée, plusieurs hommes et femmes m’invitaient à les accompagner « Tu baises avec moi ? » « Tu veux nous rejoindre avec ma femme ? » Étant bien fatiguée et ayant déjà pris beaucoup de plaisir, je refusais les offres en répondant que je ne restais pas, que je devais partir. Chose que nous avions faite vers minuit après avoir bien joui tous les deux.

En repensant à cette soirée et à quelques autres qui avaient suivies, malgré leur jouissance, ils trouvaient qu’il n’y avait pas suffisamment de piment dans ce genre de rencontres. Tout était « écrit », beaucoup trop « conventionnel », comme exemple, avec Jérémy, « on boit un verre, on discute, je te baise, j’éjacule, terminé ça fait du bien ». Patrick pensait la même chose, ils désiraient dorénavant tous les deux, connaitre des imprévus, des rencontres faites au hasard des chemins, ils abandonnèrent les clubs libertins et se tournèrent vers d’autres horizons qu’ils nous expliqueront.

Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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